Mercredi 24 novembre, le Parlement européen a été marqué par un échange d’une rare violence entre le député eurosceptique britannique Godfrey Bloom et le chef du groupe socialiste au Parlement européen Martin Schulz. L’incident s’est produit dans le cadre d’un débat sur la crise économique, alors que Martin Schulz, défendait sa position pour résoudre la crise qui frappe actuellement l’Europe. C’est alors que Godfrey Blum a crié « ein Volk, ein Reich, ein Führer » (un peuple, un empire, un chef) qui était la devise de l’Allemagne nazie. Nathalie Griesbeck voit dans cette nouvelle provocation des eurosceptiques au Parlement européen « des propos tout à fait inacceptables et les relents les plus obscurs de l’histoire de l’Europe « . Et d’ajouter « de tels propos vont totalement à l’encontre de ce pourquoi nous avons construit l’Union européenne ».
29 novembre 2010
