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Comment l'entendez-vous ?


Moselle

Communiqué de presse de Nathalie Griesbeck – Metz le 14.10.2013//C’est avec beaucoup d’étonnement et plus encore d’incompréhension et d’indignation que j’ai lu dans la rubrique des Murmures politiques du RL du dimanche 13 octobre les propos qu’on m’y prête, évidemment à tort. Ainsi n’ai-je, par exemple, jamais posé la question « Jean-Marie Rausch qui ? », ni moins encore affirmé « aujourd’hui il n’y a plus de Jean-Marie Rausch pour l’instant ». Ce serait, cela va sans dire, aussi inconvenant et incongru que grossier. De même, lors de cet entretien avec la presse, ni Nathalie Colin-Oesterlé ni moi-même, n’avons non plus prétendu – ce qui serait évidemment absurde – que Marie-Jo Zimmermann pourrait être vue comme la « marionnette » de qui que ce soit, comme un lecteur un peu hâtif et inattentif pourrait être tenté de l’entendre à tort en découvrant certains de ces prétendus Murmures. En revanche à notre grand regret, aucun des deux messages que nous avons martelés et qui étaient la raison d’être de cet entretien avec les journalistes ne se trouve ici repris : pas même murmuré, moins encore souligné dans son importance. Le premier a pour objet de mettre en pleine lumière le rapprochement des sensibilités centristes au plan local à l’image du travail intelligent qui se construit également au plan national avec succès entre JL Borloo et Fr. Bayrou. Le second message souligne la volonté dynamique et convergente de forces d’opposition venues d’horizons différents pour construire un projet novateur et alternatif pour Metz, aujourd’hui indispensable pour son avenir, et proposer une équipe capable de lui donner corps et de l’exprimer. Cette volonté audacieuse et ambitieuse est en marche. Elle suppose du sérieux et du temps : elle est donc non pas une course de lenteur comme le suggère à tort le titre volontairement ambigu d’un bref article de samedi, mais nécessairement une course de fond. Pour qu’enfin renaisse l’espoir !

14 octobre 2013