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Connecter les bases de données pour mieux traquer les criminels


LIBE / Mon action

Réforme très technique et pourtant fondamentale pour la sécurité des citoyens et la protection de l’espace Schengen : le Parlement européen a adopté de nouvelles règles en matière d’interopérabilité des systèmes d’informations européens qui traitent d’informations dans le domaine de la justice et des affaires intérieures. Nathalie Griesbeck se réjouit de l’adoption avant la fin de cette mandature des deux textes qui constituent le paquet « Interopérabilité » ; un vote final qui fait écho aux recommandations de la commission spéciale sur la lutte contre le terrorisme. Explications en vidéo et dans cet article !

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L’Union européenne et les États membres disposent de différentes bases de données dans les domaines de la justice et des affaires intérieures. Tous ces systèmes d’information sont très importants pour assurer le bon fonctionnement de l’espace de libre-circulation, détecter les personnes qui constituent une menace, permettre des contrôles plus efficaces aux frontières, ou encore assurer une bonne gestion des flux migratoires.

Pour donner quelques exemples :

Quel est le problème actuellement ? L’ensemble de ces bases de données fonctionnent en silos. Il est donc parfois très difficile pour les autorités des forces de l’ordre de recouper les informations, alors que, mises ensemble, elles peuvent révéler des éléments très importants ! C’est là tout l’objectif des deux nouveaux Règlements qui ont été adoptés par le Parlement à l’issue des négociations interinstitutionnelles.

Qu’est-ce que ces accords créent ?

Autant d’outils très techniques, régis par des Règlements qui répondent aux attentes des citoyens en matière de sécurité, tout en respectant des règles relatives à la protection des données strictes.

Les textes adoptés sont disponibles ici :

 

Articles précédents à ce sujet :

 

16 avril 2019